Lorsque je suis entré en poste le 6 février dernier, j’aurais cru que mon mandat s’échelonnerait sur plusieurs années. Pourtant, j’ai annoncé ma démission dès le 1^er mai pour des raisons que j’ai déjà expliquées[1]. Cette démission devait être effective dès qu’un(e) remplaçant(e) serait trouvé(e). À ce jour, personne ne s’est manifesté.

Plusieurs décisions récentes de l’Association étudiante de l’ÉTS m’ont cependant poussé à m’en désaffilier[2], puisque je refuse d’être représenté par cette dernière. Ces décisions font l’objet d’un article à part entière dans la présente édition[3].

Rien n’a changé à mon désir de contribuer à ce journal, mais en me désaffiliant de l’Association, j’ai également dû accepter de perdre mon droit d’agir à titre de directeur du Comité du journal étudiant. De ce fait, je quitte mes fonctions immédiatement, laissant donc le poste vacant.

Le bilan que je dresse de mon mandat n’est pas positif. Le Comité est aux prises avec de graves problèmes d’implication et trop peu d’articles sont soumis à chaque édition. Je n’ai pas su corriger la situation, notamment en raison de mon indisponibilité. Dès mon entrée en poste, j’ai été distrait par deux référendums et une campagne électorale, avant d’effectuer deux stages consécutifs.

Je vous invite donc à nouveau à soumettre vos articles sur le site journal.aeets.com. Je vous invite également à contacter [connectez-vous pour voir les adresses courriel] afin de poser votre candidature pour le poste de directrice ou de directeur. Pour ma part, je compte me présenter à un autre poste du comité du Journal étudiant dès sa prochaine assemblée.

[1] Prêcher dans le désert bit.ly/1j80yC2 

[2] Formulaire de désaffiliation bit.ly/1OQJIEt 

[3] Un Dangereux précédent bit.ly/1GBAB8l